Référencement gratuit

"Il MESSAGERO POESIE JS,

un site qui aime et accueille la poésie, les chansons, les vertus de l' Ethique, les peintures, le cinéma, la naturopathie..."

tout simplement JS

Enrico Macias

js

Les gens du Nord

Paroles: Jacques Demarny, Enrico Macias. Musique: Enrico Macias, Jean Claudric   1967
© G.Marouani - 1967

Les gens du Nord
Ont dans leurs yeux le bleu qui manqu' à leur décor.
Les gens du Nord
Ont dans le cœur le soleil qu'ils n'ont pas dehors.
Les gens du Nord
Ouvrent toujours leurs portes à ceux qui ont souffert.
Les gens du Nord
N'oublient pas qu'ils ont vécu des années d'enfer
Si leurs maisons sont alignées
C'est par souci d'égalité
Et les péniches
Pauvres ou riches
Portent le fruit de leurs efforts

Les gens du Nord
Courbent le dos lorsque le vent souffle très fort.
Les gens du Nord
Se lèvent tôt, car de là dépend tout leur sort.
A l'horizon de leur campagne
C'est le charbon qui est montagne,
Les rues des villes
Dorment tranquilles
La pluie tombant sur les pavés.

L'accordéon les fait danser
Et puis la bière les fait chanter
Et quand la fête
Tourne les têtes
On en voit deux se marier.

Les gens du Nord
Ont dans les yeux le bleu qui manqu' à leur décor.
Les gens du Nord
Ont dans le cœur le soleil qu'ils n'ont pas dehors

js

 

Les filles de mon pays

Paroles et Musique: E.Macias, J.Claudric, P.Cour

Ah qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai
Oui qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai

Dans leurs yeux brille le soleil
Des soirs d'été
La mer y joue avec le ciel
Et les fait rêver
Dès qu'elles ont seize ans
Le moindre tourment
Le moindre bonheur
Fait battre leur cœur

Ah qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai
Oui qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai

Quand un garçon leur fait la cour
Il sait déjà
Qu'il n'aura rien de leur amour
La première fois
Il doit s'engager
Il doit mériter
La main qu'il retient
Déjà dans sa main

Car elles sont les filles, les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai
L'honneur de la famille les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai

Celui qui sait se faire aimer
Sera heureux
Elles n'ont plus rien à refuser
A leurs amoureux
Oui mais pour cela
Il faut voir papa
Il faut voir mama
Une bague au doigt

Ah qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai
Oui qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai

Ah qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai
Oui qu'elles sont jolies les filles de mon pays
Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai Lai

 

Paris, tu m'as pris dans tes bras

Paroles et Musique: J.Pégné, E.Macias   1964
© 1964 - Disque Pathé

J'allais le long des rues
Comme un enfant perdu
J'étais seul j'avais froid
Toi Paris, tu m'as pris dans tes bras

Je ne la reverrai pas
La fille qui m'a souri
Elle s'est seulement retournée et voilà
Mais dans ses yeux j'ai compris
Que dans la ville de pierre
Où l'on se sent étranger
Il y a toujours du bonheur dans l'air
Pour ceux qui veulent s'aimer
Et le cœur de la ville
A battu sous mes pas
De Passy à Belleville
Toi Paris, tu m'as pris dans tes bras

Le long des Champs Elysées
Les lumières qui viennent là
Quand j'ai croisé les terrasses des cafés
Elles m'ont tendu leurs fauteuils
Saint-Germain m'a dit bonjour
Rue Saint-Benoît, rue Dufour
J'ai fait danser pendant toute la nuit
Les filles les plus jolies
Au petit matin blême
Devant le dernier crème
J'ai fermé mes yeux là
Toi Paris, tu m'as pris dans tes bras

Sur les quais de l'île Saint-Louis
Des pêcheurs, des amoureux
Je les enviais mais la Seine m'a dit
Viens donc t'asseoir avec eux
Je le sais aujourd'hui
Nous sommes deux amis
Merci du fond de moi
Toi Paris, je suis bien dans tes bras
Toi Paris, je suis bien dans tes bras
Toi Paris, je suis bien dans tes bras
Toi Paris, je suis bien dans tes bras.

 

Solenzara

Paroles: Enrico Macias. Musique: Dominique Marfisi, Catherine Darbal, Bruno Bacara

Sur la plag' de Solenzara
Nous nous sommes rencontrés,
Un pêcheur et sa guitare
Chantaient dans la nuit d'été
Cette douce mélopée.
Sur la plag' de Solenzara
Chaque soir on a dansé
Et le jour de ton départ
J'ai compris que je t'aimais
Et je ne t'ai plus quitée

{Refrain:}
À Solenzara
Oh ! chi dolce felicita
À Solenzara
più bènum si posta....

Quand j'entends la mélodie
Qui m'a donné tant de joie
Je sais que cette nuit-là
Notre amour a pris sa vie
Au cæur de Solenzara

{Instrumental}

À Solenzara
J'y reviendrai tous les étés
À Solenzara

Più bènum si posta....
Più bènum si posta....

 

Les Yeux de l'amour

Tous les enfants du monde
Pour leurs parents sont beaux
Leur donnant au monde
Le premier sourire
Le premier rire
Le premier mot

{Refrain:}
Les yeux de l'amour
Ne regardent pas
Tant la vérité
Vient parfois les aveugler
Les yeux de l'amour
Pleurent dans la joie
C'est peut être ça
Qui les fait tant briller

Quand dans la vie on s'aime
Tout nous paraît meilleur
Car tous ceux qu'on aime
Savent éveiller les qualités de notre coeur

{au Refrain}

Les yeux de l'amour
Ne s'inquiètent pas
Ne s'étonnent pas
Des embuches de la vie
Les yeux de l'amour
Ne regardent pas
Quand tous ceux qu'ils aiment
Font parfois des folies

Les yeux de l'amour
Deviendraient cruels
S'ils ne se fermaient
Quand le doute les appelle
Les yeux de l'amour
Préfèrent pour ça
Se fermer souvent
Quand ils doutent de toi

Les yeux de l'amour
Deviendraient c ruels
S'ils ne se fermaient
Quand le doute les appelle
Les yeux de l'amour
Préfèrent pour ça
Se fermer souvent
Quand ils doutent de toi

Les yeux de l'amour
Deviendraient cruels
S'ils ne se fermaient
Quand le doute les appelle
Les yeux de l'amour
Préfèrent pour ça
Se fermer souvent
Quand ils doutent de toi

 

Constantine

Les chemins défendus
Peuvent mener à Rome
Les jours suivant les jours
Conduire au temps perdu
L'eau des ruisseaux
Qui rit de l'oubli des hommes
Rejoindre un jour la mer monotone

Mais toi mon coeur tu voyages
Vers le rocher sauvage
Qui te fascine
Constantine

On emmène avec soi
Ses plus gandes richesses
La forme d'un amour
Au bout de ses dix doigts
La poudre d'or
De quelques anciennes promesses
Et quelques larmes sur sa jeunesse

J'ai gardé les chansons vives
De tes flûtes naïves
En sourdine
Constantine
Constantine

On part à coeur perdu
Avec la faim dans l'âme
De matins lumineux
De villes inconnues
Au bout c'est le désert
Et ces matins calmes
Le sable ou bien les bras d'une femme
Entre le ciel et la terre
Tu as tes ponts de pierre
Sur tes abîmes
Constantine

Tu ne peux t'échapper
Au bras de tes ravines
Et comme elle je tiensMon amour bien serré
Quand elle est là tranquille
Sur ma poitrine
Je pense à toi plus fort
Constantine
Je pense à toi plus fort
Constantine

 

 

Malheur à celui qui blesse un enfant

 

 

1. Il n'a pas de père, et il n'a pas de mère,
C'est le plus frondeur de tout l'orphelinat
On cite en exemple son sale caractère
Et on le punit car on ne l'aime pas.

{Refrain:}
Qu'il soit un démon, qu'il soit noir ou blanc,
Il a le cœur pur, il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour, ou par accident,
Malheur à celui qui blesse un enfant.

2. Il vole au marché, un gâteau, une orange,
Et on le poursuit, il faut le rattraper
On donne l'alerte, on arrête un ange
Et pour se défendre il se met à pleurer.

{Refrain}

3. Il est émigré d'un pays de misère
Et dans une école il apprend à parler
Son accent fait rire, il ne peut rien faire
Sans qu'on lui reproche d'être un étranger.

 

Noël à Jérusalem

Paroles: Jacques Demarny. Musique: Enrico Macias   1968

 

Noël à Jérusalem
Près d'un mur que l'on croyait perdu
Un homme à genoux est là, il pleure à côté de moi
Et lève les yeux en remerciant le ciel

Noël à Jérusalem
Les pieds nus aux portes des mosquées
Ils sont des milliers qui viennent pour y déposer leurs peines
Le visage à terre jusqu'à la nuit tombée

Ces mains qui prient au même instant ici
N'ont-elles pas la même ferveur
Les hommes auraient-ils oubliés aussi
Que c'est Dieu qui fait battre leur cœur

Noël à Jérusalem
C'est aussi l'enfant de Bethléem
Et le pèlerin guidé par l'étoile du berger
Cherche la maison de sa nativité

Noël à Jérusalem
C'est le monde au pied de l'éternel
Qui vient implorer son nom et lui demander pardon
De s'être égaré loin des chemins du ciel

Pourtant il suffirait de voir un jour
S'élever dans une prière
Le cœur de trois hommes éperdus d'amour
Pour changer la face de la terre

Noël à Jérusalem
Près d'un mur que l'on a retrouvé
Un homme à genoux m'a dit : Tout est changé dans ma vie
Car Jérusalem est de nouveau sur terre

La première ville bénie
À qui le Seigneur a dit
Je ferai ici mon plus merveilleux Noël
À Jérusalem

 

Un berger

 

Un berger vient de tomber sous les armes
Le cœur de l'humanité est en larmes
Et le monde bouleversé, réalise d'un seul coup
que la terre engendre quelquefois des fous
Tous ceux qui devant son corps font la fête
Oublie que la mort n'est pas une défaite
Il a mis tout son courage à servir la liberté
Qu'il nous reste l'héritage qu'il l'a laissé
C'est pour ça que je garde l'espoir
Il n'est pas venu par hasard
Le chemin qu'il l'a tracé, nous l'avons tous en mémoire
Mais martyre force les portes de l'histoire

Un berger vient de tomber sous les armes
Le cœur de l'humanité est en larmes
La violence a de nouveau mis du sang sur son drapeau
Et la chaîne et nous au milieu des alliants
Comme nous l'avons appris des prophètes
Qui séme le vent récolte la tempête
Alors j'affirme aujourd'hui
A ceux qui l'ont sacrifié
Que déjà dans le ciel on les a jugé
Il disait puisqu'il faut mourir
Laissez-moi le droit de choisir
Et de Washington à Rome où l'on a eu peur aussi
On sait bien qu'il a fait le don de sa vie

Un berger vient de tomber sous les armes
Le cœur de l'humanité est en larmes
Des idées qu'il défendait et cette main qu'il tendait
Serviront un jour ou l'autre à faire la paix.

 

Le mendiant de l'amour

js 

 

J'ai de l'amour plein la tête, un cœur d'amitié.
Je ne pense qu'a faire la fête et m'amuser.
Moi, vous pouvez tout me prendre : je suis comme ça.
Ne cherchez pas à comprendre : écoutez-moi.
Dans toute la ville, on m'appelle le mendiant de l'amour.
Moi, je chante pour ceux qui m'aime et je serai toujours le même.
Il n'y a pas de honte à être un mendiant de l'amour.
Moi, je chante sous vos fenêtres chaque jour.

{Refrain x2:}
Donnez, donnez, dodo-onnez,
Donnez, donnez moi,
Donnez, donnez, dodo-onnez,
Dieu vous le rendra...

Donnez moi de la tendresse, surtout pas d'argent.
Gardez toutes vos richesses, car maintenant
Le bonheur n'est plus à vendre. Le soleil est roi.
Asseyez vous à ma table, écoutez-moi.
On est tous sur cette Terre des mendiants de l'amour,
Qu'on soit pauvre ou milliardaire, on restera toujours les mêmes,
Ces Hommes extraordinaires, ces mendiants de l'amour.
Moi, j'ai besoin de tendresse chaque jour.

{Refrain x2}

Alors, laissez-moi vous dire la générosité.
C'est une larme de sourire à partager.
Je n'ai pas envie d'apprendre pour qui et pourquoi.
Je n'ai pas de compte a rendre, écoutez-moi.
Dans toute la ville, on m'appelle le mendiant de l'amour.
Moi je chante pour ceux qui m'aime et je serai toujours le même.
Il n'y a pas de honte à être un mendiant de l'amour.
Moi, je chante sous vos fenêtres chaque jour.

{Refrain}

L'oriental

Paroles et Musique: Y.Hedjajd   1962

 

 

{Refrain:}
Et l'on m'appelle l'oriental
Le brun au regard fatal
Et l'on m'appelle l'oriental
Car moi je suis sentimental
Et pourtant je ne fais pas de mal
On m'a surnommé l'oriental

On critique ma vie
Mais on aime ma compagnie
A tout instant mon cœur s'attache
Mon cœur joue à cache-cache

Même quand je n'ai pas un dollar
Je chante et j'oublie mon cafard
On m'a surnommé l'oriental
Car moi je suis sentimental

{au Refrain}

Chansons tristes ou chansons gaies
Moi je chante ce qu'il me plaît
C'est la musique qui m'affole
Musique orientale ou espagnole

La chanson c'est comme l'amour
Ça fait rêver la nuit le jour
On m'a surnommé l'oriental
Tellement je suis sentimental

{au Refrain}